Le président de la DUT invite les élus “à prendre conscience des enjeux des mobilités de demain, et de l’intérêt de la concertation avec les usagers”. Et à la remarque selon laquelle ce sont des projets privés qui font ces choix géograhiques, il rétorque : “Les élus acceptent des permis de construire et octroient des subventions publiques, ils pourraient aussi penser aux infrastructures, ou alors refuser des implantations. D’autant plus quand il s’agit de personnes handicapées, âgées et avec des problèmes de santé : il faut penser à l’accessibilité”.
Reste que l’implantation de telles structures nécessite des arbitrages. La DUT, elle, propose aux élus son savoir-faire pour rechercher des solutions de transport, rapporte La République des Pyrénées.
[Avec La République des Pyrénées]