"Fermer serait une catastrophe". Essentiel pour l'accès aux soins des habitants, particulièrement des plus démunis du nord-est parisien, le centre de santé Richerand est proche de la faillite, comme le rapporte l'AFP. Comme nombre d'autres structures associatives ou mutualistes, au modèle économique "intenable". "Sans ce centre, je serais en grande galère", s'émeut Alpha Camara, étudiant de 28 ans, dans la lumineuse salle d'attente. Exilé guinéen, il a été orienté ici en 2019 par l'hôpital Lariboisière, et fait régulièrement "1h30 de transports, depuis le Val-d'Oise", car "tous les médecins" de sa ville affichaient complet.

 

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