"On a mis les choses sur la table", formule le président de la FFMKR, Sébastien Guérard, pour résumer le troisième rendez-vous, ce 30 janvier, entre la Cnam et les organisations représentatives des professionnels de santé, pour définir les contours de l’avenant. Si les deux premières séances, le 6 décembre dernier et le 16 janvier, "permettaient de poser le constat, les données, et, factuellement, de dire où en était le fonctionnement des MSP (...) ce matin, on a commencé à rentrer un petit peu dans le dur", poursuit-il. Déclinant plusieurs éléments "phares", même si l’heure demeure encore à la réflexion.

 

Tenir compte de la diversité

Le premier sujet ouvert au débat : la fonction de coordination en MSP, aujourd’hui exercée par 3.089 personnes (entre temps plein et temps très partiel), mentionne la Cnam, dans un document de travail. Que ce soit par un personnel administratif ou un professionnel de santé de la structure. "On a besoin d’une ressource humaine", affirme le Dr Luc Duquesnel, président du syndicat Les Généralistes-CSMF, même si, "bien sûr, les besoins ne sont pas les mêmes si on est une MSP avec deux médecins - une infirmière, ou si on est une MSP avec 107 professionnels de santé".

 

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