Gravé dans le marbre de la Constitution de la Ve République depuis un an et demi, le droit à l'IVG tend à se fragiliser surtout auprès des jeunes, notamment à cause des idées reçues et plus particulièrement de la désinformation. Un sujet dont la Direction générale de la santé (DGS) a décidé de se saisir en ce 28 septembre, Journée mondiale du droit à l’avortement. "La désinformation en santé n’est pas une opinion, c’est un risque. Elle met en danger nos concitoyens et affaiblit notre système de soins", a insisté Yannick Neuder, ancien ministre de la Santé et de l’Accès aux soins. 

 

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