"On va mettre en place un dispositif médecin junior, pour qu’une vingtaine d’étudiants en quatrième année d’internat puisse exercer dans les cabinets médicaux et avoir 200 à 300 patients chacun", confirme le président de l'agglomération. Une stratégie prévue pour contrer les déserts médicaux, même si un autre problème subsiste : le modèle de médecine salariée, lui-même perçu comme contraignant. Une légère contrainte, d'horaires et de rémunération, contrée par les avantages et le confort offert, ainsi que la possibilité de travailler en équipe. "On a prouvé que la médecine salariée pouvait être efficace", affirme Benoit Arrivé.
L'agglomération a selon lui prévu de "développer ce modèle et de faire d’autres centres dans le territoire". D'autres projets sont également à suivre : un médicobus et la création de trois nouveaux centres communautaires sur le territoire.
[Avec Ouest France]