Le 18 septembre dernier, journée de mobilisation générale, “pas une pharmacie n'était ouverte”, précise Mélanie Leroy, infirmière libérale, à La Voix du Nord. “Un de mes patients, âgé de 81 ans, était en fin de vie, il avait besoin d'être sédaté dès le matin”, raconte-t-elle. Mais impossible de trouver le médicament, prescrit par un médecin, dans les alentours…"On a contacté [la pharmacie] de l'hôpital qui n'a pas voulu nous dépanner. J’ai un ami pharmacien qui hélas n’avait pas le médicament prescrit. Je trouve que c'est terrible d'en arriver là, de devoir se démener de la sorte."  

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