"13 millions de Français sont concernés par des troubles psychiques, soit 1 personne sur 3", a lancé Anne-Claire Boux, lors de la soirée de lancement de la première édition du Mois de la santé mentale, mis en place par la Ville de Paris du 1er au 30 avril prochain. Une initiative en écho à la Grande cause nationale 2025, et qui vise à "déstigmatiser les troubles de la santé mentale, qui concernent 1 Parisien sur 5", rappelle un communiqué de la Ville de Paris.  

Consciente de l'"invisibilisation de la cause de la santé mentale par la société", l’adjointe à la maire de Paris en charge des questions relatives à la santé publique et aux relations avec l’AP-HP, à la santé environnementale, à la lutte contre les pollutions et à la réduction des risques, s’est félicitée d'avoir "enfin un Mois de la santé mentale comme on a un Octobre rose". Avant de rappeler l'ampleur du sujet : avec un "doublement du nombre de jeunes femmes hospitalisées pour des tentatives de suicide", il s'agit de "briser le tabou, déstigmatiser et améliorer la prise en charge".  

 

 

Pour les personnes concernées, le contexte international était particulièrement complexe – notamment aux États-Unis – avec des populations discriminées qui sont très touchées, a-t-elle ajouté : "Nous serons présents nous, Ville de Paris, pour réduire les problématiques d'accès aux soins. Et montrer que la ville peut être une réponse pour les Parisiens et Parisiennes"

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